La psychologie de cette personne n'est différente de celle des autres. A dire vrai, c'est une personne assez sensible qui tente le tout pour le tout pour ne pas se faire écraser par cette fragilité à fleur de peau. C'est pourquoi il s'est forgé une carapace pour se protéger du monde extérieur. Nous pouvons donc dire qu'il y a deux Nikita. L'un est fragile et sensible mais il ne ressort que peu souvent. L'autre dur et exigeant avec tout le monde : celui que l'on remarque tout le temps.

Le premier point qu'il est bon de souligner, c'est sa générosité. Il peut donner et donner encore sans jamais recevoir des autres. C'est ce qui fait de lui également une personne quelque peu naïve. Il ferait tout pour ses amis comme pour les personnes qui sont dans le besoin. Ce côté naïf se remarque bien lorsqu'il a répondu à Tristana lorsqu'elle lui a dit qu'elle était quasiment "kidnappée". Il n'a pas parut s'en faire. Il fait tellement confiance aux gens qu'il en oublie parfois que le mal existe, et cela est bien dommage. D'ailleurs si l'on prend le moment où sa mère l'a traité de monstre, il était certes perturbé mais pas non plus traumatisé pour dix ans.

Mais face à cette générosité, on retrouve un grand côté d'impatience. On lui demande quelque chose d'accord. Mais lorsque c'est lui qui attend quelque chose ou quelqu'un que se soit pour un rendez-vous ou même une lettre via les réseaux postiers, il ne supporte pas d'attendre. S'en devient même parfois maladif. Il a l'impression qu'on le prend pour un débile et il n'apprécie pas. Dans ces moments là, il vaut mieux éviter de lui faire une remarque concernant son comportement car il est très susceptible et nous ne pouvons pas savoir qu'elle sera sa réaction prochaine. Il est donc impatient et susceptible.

Faisant depuis longtemps du judo et du self-défense et contrôle, il sait quand même se calmer. Effectivement, il ne peut se calmer que lorsqu'il est impatient. Mais quand il se passe un évènement totalement incongru qui pourrait le mettre en danger, il sait garder son calme et tenter de trouver des solutions. C'est d'ailleurs là un de ses traits qu'il apprécie le plus car il lui a toujours servi autant à l'école que dans la vie de travail qu'il mène désormais.

Bien qu'il soit dans son comportement totalement généreux, parfois, il ne fait pas attention à ce qu'il dit. On peut donc dire qu'il est une langue de vipère. Il est toujours en train de parler de ci et de là et il en oublie qu'il dit des atrocités. Il a le cœur sous la main mais la parole, elle, est bien au dessus de tout cela. Il peut vous enchainer des répliques tranchantes qui vous fera regretter l'envie de l'avoir croisé. Ainsi, il sait parler correctement mais aussi comme n'importe quelle personne méchante. Il ne faut pas se formaliser là-dessus, c'est comme pour son regard de tueur, cela n'est pas forcément contre vous.

Il fait partis de ces gens qui sont toujours prêts à se remettre en question dès qu'un fait X ou Y se produit. Il se formalise pour rien et c'est en cela qu'il reste quelqu'un dans son entièreté. Il se pose des interrogations à tout bout de champ. D'ailleurs, l'une de ses questions qui revient constamment est de savoir pourquoi il est différent des autres avec son pouvoir. Qui peut bien l'aider à répondre à cette question ? Ce n'est surement pas moi en tout cas.

Aux premiers abords, c'est quelqu'un de très froid, il ne s'en rend pas compte mais il se comporte bizaremment lors des premières rencontres avec les gens qu'il croise. Mais en fait, c'est quelqu'un d'extraverti qui ne gêne pas pour exprimer sa joie de vivre et son envie de continuer à vivre pendant très longtemps. Il ne cache pas non plus le fait qu'il soit bisexuel et en joue même avec les gens qu'il connait.

C'est donc un jeune homme qui peut passer d'un jour à l'autre, d'une heure à une autre du totalement méprisant au totalement serviable. C'est instinctif chez lui. On pourrait le comparer aux personnes qui sont lunatiques mais il n'est pas ainsi, il se laisse juste guider par ce qu'il croit juste et surtout bon de faire au moment présent.

Attribuer un physique à une personne n'est jamais vraiment facile. Chacun décrypte les gens à sa manière. Alors on se base sur des attitudes, des vêtements afin de comprendre le personnage que l'on a en face de soit. Mais attention, il devient encore plus difficile de comprendre Nikita. Effectivement, celui-ci se trouve être totalement dépendant de son pouvoir au niveau physique. Que voulez-vous ? Il est polymorphe ou d'un autre nom, appelez cela comme vous le souhaitez. C'est pourquoi, le décrire est assez difficile. Mais heureusement, il n'est pas toujours dans une autre peau que la sienne alors je vais vous le détailler.

On ne va pas faire dans les sentiments. Nikita est blond. Non pas un blond de Belgique, ni un d'Allemagne. C'est un blond de Pologne. Là, je vous sens venir en disant que cela n'est pas possible. Mais si mais si, Nikita a une mère châtain clair et un père blond alors évidemment, il est devenu blond. Et ne lui en déplaise. Il aime cette couleur dorée même si souvent il est plus blanc cassé que blond au niveau de sa couleur de cheveux. Pour parfaire tout cela, il ne conserve pas de courts cheveux mais pas de longs non plus. On dira qu'il est dans l'entre deux. Un cheminement au mi-long qui le fait se coiffer comme il l'entend. Vous ne le verrez pas avec les cheveux pendants mais toujours avec une coiffure bien à lui. Soit rabattu contre ses tempes soit totalement coiffés en fouillis. Mais il se peut que vous le voyiez donc avec les cheveux totalement en bataille. Il vous dira cependant qu'ils sont "coiffés" ...

Pour continuer, c'est un personnage haut en couleurs. Eh oui, il est blond mais il a aussi les yeux verts. Verts comme l'émeraude qui luit. Il a d'ailleurs tellement un regard perçant qu'on se demande si il se méfie ou si il veut nous tuer. Mais pas d'inquiétudes, c'est à son habitude. Étant donné qu'il communique beaucoup par le regard, il se charge en général de dire ce qu'il pense via ceux-ci. Donc ne le prenez pas mal si vous vous prenez un bon regard méchant, ce ne sera pas forcément contre vous. Pour apporter quelques ornements à ses yeux, il est pourvu de cils assez longs par rapport à ceux des hommes et cela rajoute un petit charme. Cependant, il a d'épais sourcils qui entachent un peu ce tout.

Continuons. Cette fois-ci concentrons nous sur le visage dans sa globalité. Il a des oreilles de taille moyenne qui sont bien souvent cachées par ses cheveux qui viennent se coller par dessus. Il a aussi une petite bouche très fine et non pulpeuse comme certaines personnes. Mais ce qui choque un peu ce sont ses pommettes. Lorsqu'il sourit, ses pommettes se creusent laissant apparaitre des lignes de visage que certains aimeront d'autres pas du tout. Et comme il sourit souvent, celles-ci se creusent de plus en plus au fil des années.

Enfin on regarde attentivement son physique général. Ce n'est pas une personne très grande. Un mètre soixante douze. Et on remarque aussi qu'il ne semble pas tellement gros. Effectivement il fait soixante deux kilogrammes pour sa taille. Il ne parait pas charpenté, enfin comme tous les hommes de son âge et plus dans une généralité. Cependant il faut quand même se méfier car c'est un garçon qui ne passe pas son temps à trainasser devant la télévision ou les jeux vidéos avec ses amis. Il est plus du style à aller faire du judo avec son professeur. Eh oui, le jeune garçon apprend à se défendre en cours de judo mais aussi en prenant des cours de self-défense. C'est pourquoi, il est assez musclé. Ce n'est pas non plus un fan de culturisme donc cela reste superficiel.

Un point également bon à souligner. Il a la peau quelque peu bronzée. Et non ce n'est ni un bronzage acquis au fil des années ni un bronzage fait en salon. C'est tout simplement le fait que son père était, d'après les photos qu'il a vu étant enfant, métisse. Sa mère étant blanche, il a synthétiser les deux gênes de la peau et le voilà dans une teinte toute nouvelle qui est un léger mate. Non non, ce n'est ni un russe ni un sénégalais. Il est dans le milieu du milieu.

Pour terminer, Nikita a un habillement très particulier. En effet il s'habille à la mode actuelle comme tout le monde mais n'hésite pas à customiser ce qu'il porte. Tout d'abord dans l'habillement cela se traduit par des jeans et des tee-shirts parfois extravagants. Des chaussures suivant la mode actuelle. Et pour ce qui est de la customisation, cela peut se traduire par le simple port de lunettes comme un bracelet ou un chapeau afin de se démarquer.

I. Ta Mère & Ton Père

Mon enfant, mon cher enfant, je ne suis que ta mère et pourtant tout ce qui est en mon pouvoir je ferai pour toi. Mon enfant tu es, mon enfant tu restera. Je m'excuse par avance de mon hésitant anglais mais tu sais que polonaise je suis alors de me faire comprendre je vais essayer. Ton père j'ai rencontré, un soir dans une soirée chic de Cracovie. En voyage d'affaires nous étions. Polonaise, je suis, anglais il était. Une réunion été programmé pour que deux entreprises très grandes en une se rassemblent. Les émissaires nous étions. Lorsque dans cette soirée, nous nous sommes vus pour la première fois, le coup de foudre ça a été. Polonais, il parlait très bien. Anglais comme aujourd'hui j'hésitais. Très vite, d'amitié nous nous sommes pris. Chacun avec son accent séduisait l'autre. Une semaine puis deux passèrent. Et le premier baiser arriva. Ensemble nous sommes sortis mais à Londres il dut repartir. Triste nous étions mais heureux en même temps. Il partit, me laissant seule. Des affaires j'avais à régler pour mon travail alors le temps plus vite passait.

Au travail, des nausées me prirent trois semaines après son départ. Je ne comprenais pas. Le médecin je suis donc allé voir. L'annonce qu'il m'a fait, m'a stupéfiée. Enceinte, j'étais. Vingt-cinq ans j'avais et l'homme qui m'avait enfanté ne revenait pas. Le temps passa et sept moi plus tard, tu es né. Très prématuré tu es. Alors qu'à la maternité j'étais, me voir il est venu. Surpris de voir un enfant, il te reconnut quand même. Un nom nous devions trouver. Nikita, ton premier prénom typiquement russe (puisque mon père l'était et tel fut son prénom). Henry, ton second pour le père de cet anglais. Le nom de cet anglais tu as pris, Thompson. Six mois plus tard, nous nous sommes mariés. En Angleterre nous l'avons fait, peu loin de Londres, dans un petit village. A Londres nous avons donc vécu. Quitter mon travail j'ai du tout comme lâcher ma famille. Grâce à ses connaissances, te mettre de nationalité anglaise, nous avons pu. Le temps passa, de plus en plus tu grandissais.

Une relation très fusionnelle nous avions. Lui s'occupait de ramener de l'argent à la maison. Moi du logis je m'occupais comme dans diverses associations je m'intégrais. Une petite maison dans une zone résidentielle nous habitions. Avec les voisins, de multiples activités nous faisions. De très bonnes relations nous avions avec quasiment tout le monde. Toi, avec le voisin de ton âge tu jouais, je m'en rappelle. Parfois, à vous distinguer nous n'arrivions pas. Blonds vous l'étiez tous deux. Alors jamais les mêmes couleurs, nous avons décidé de vous faire porter. Mais lorsque trois ans tu as eu, un drame est arrivé.

II. La mort de ton Père & La Vie d'une Polonaise

Lors de tes trois ans un drame est arrivé, comme je disais. La famille bouleversée a été. Ton père, un accident de voiture, a eu. A la maison j'étais, avec toi dans le landau. Un coup de téléphone est arrivé et à l'hôpital on me demandait de me déplacer. Affolée je me suis dépêchée d'y aller, toi dans mes bras tu étais. Arrivée à l'hôpital, ton père dans un état critique était. Le médecin, des explications m'a donné. Un camion dans sa voiture avait foncé en grillant un feu. La rage m'est montée. Effectivement, le médecin d'une voix implorant la pitié m'annonça qu'il n'y avait pas de solution. Ton père, dans le coma était rentré. Dans une heure comme dans dix ans, sortir il pouvait. Mort, je dis donc qu'il est. Même si, à l'hôpital il est encore. L'argent de nos deux familles, à payer les soins permet. Aucune solution n'a été trouvé. Souvent, le voir je vais. Te cacher la vérité j'ai voulu. De ton père je t'ai dit qu'il était mort à la guerre. Même si la guerre, il ne la jamais faite. Ainsi, un souvenir de héros tu gardais. Mais dans tes yeux, la vérité je voyais. Jamais à mes mensonges tu n'as cru. Alors une promesse je t'ai faite, l'année de tes dix neuf ans, la vérité tu saurais. Cette année est arrivée. La vérité je te dévoile donc. Qui tu es, qui je suis, ce que nous somme.

A l'hôpital, l'homme qui a mis dans cet état ton père j'ai vu aussi. Dans le coma, il n'était pas lui. A rien, je ne comprenais. Le médecin, des explications m'a donné. Ton père, une cabriolet il avait alors que l'autre homme, un camion il conduisait. Plus protégé que ton père, il était. Le voyant là, seulement avec une minerve et quelques membres dans le plâtre, résister je n'ai pas à aller le voir. Lorsque dans la chambre je suis rentré, il a tout de suite compris qui j'étais. En larmes il est tombé. Alors tous deux, en larmes nous avons explosé. Chacun pleurant ce qui lui manquait. L'un sa dignité, l'autre son mari. En excuses il s'est répandu. Le blâmer, je n'ai jamais pu. Le tuer je voulais avant de passer la porte. L'aider je souhaitais après avoir passé la porte. Depuis ce temps, toujours je pleurais pour un oui ou pour un non. Mais devant toi, me contenir j'essayais.

III. Fuir, notre destinée était

Plus le temps passait, et plus en toi je reconnaissais ton père. Ses yeux tu as, son intelligence aussi. Et puis à l'effigie de ton père tu grandissais. Malheureusement, le temps passait sans que nous le partagions. Afin de subvenir aux besoins de la famille, travailler je devais. Alors toi, à l'école tu allais. Des amis, tu en avais beaucoup. Tes soldats ils étaient même. Au doigt et à la baguette ils te suivaient. Fier tu étais, même un peu trop peut être. Te déguiser tu adorais alors eux aussi faisaient pareil. Une fois, je me souviens même que tu as copié les vêtements du directeur jusqu'à même la barbe. Amusant ça en était. Parfait il était ce costume. Mais peur tu as eu je m'en souviens encore. Ta détresse j'ai ressenti au plus profond de moi lorsque le proviseur t'avait convoqué dans son bureau pour parfaire à cette plaisanterie.

A ton école je m'étais donc rendue. Du temps que j'arrive, le proviseur avait essayer d'enlever cette barbe. Mais vraie elle l'était. Incompréhensible pour lui. Sept ans, tu avais. A cet âge on ne porte pas de barbe. A peine devant le bureau j'étais que j'ai encore ressenti ta peur au fond de moi. Alors dans la pièce je suis rentrée. Le proviseur à cause de cette plaisanterie m'avait signalé ton expulsion. Incompréhensible encore une fois. Puis dans un laps de six mois, des choses étranges se passèrent. Parfois, tu n'étais plus le même. Plus grand, plus petit, blond, brun. Je ne savais quoi penser. Mais une personne du quartier le remarqua. La police il appela. Pour ne pas que tu sois une bête de foire, fuir avec toi j'ai du. Loin, très loin de la périphérie de Londres. New York m'a ouvert les bras.

C'est là-bas que ma vie j'ai pu un peu reconstruire. La maison à côté de Londres, je l'ai vendue et à New York, un appartement j'ai pris. Toi avec moi bien entendu. Heureux nous étions. Des voisins charmants nous avions, sauf un qui était grognon. Mais ces pressentiments j'avais toujours, comme toi tes problèmes de personnalité. Psychologique je pensais que c'était alors chez un psychiatre je t'ai emmené. Mais il ne trouva rien. Jusqu'au jour où devant moi tu étais et en ton père tu es devenu. Un gros choc j'ai eu. Un monstre je pensais que tu étais. Une peur immense j'avais. T'abandonner je voulais.

IV. T'adopter je n'ai que pu faire

Peur j'avais de toi. Un monstre je te pensais. Alors une option est arrivée. T'abandonner je voulais. Mais le courage m'avait délaissé. Ton père tu représentais trop. Alors t'adopter je t'ai fait. Huit ans tu avais. Tu t'en souviens surement encore. Une famille acceptable j'ai trouvé grâce aux services en charge de cela. Depuis, comme leur fils tu es mais le nom de ton père tu as toujours. Suite à cela, en Angleterre je suis retourné. Revoir les terres de mon mari et être au plus près de lui, de l'hôpital, j'avais besoin. Un appartement j'ai déniché et de là, ma vie j'ai continué. Mais ce qui m'a troublé, c'est que tes pensées j'arrivais à discerner. Savoir où t'étais, je le savais ; savoir ce que tu faisais, je pouvais le deviner. Là aussi comme un monstre je me suis sentie. Dans mes yeux je te voyais, je te sentais. A l'école, chez "toi", avec tes amis, tes premiers amours. Un monstre je suis aussi surement.

Alors des informations j'ai cherchées. Et là, j'ai trouvé. Un homme m'a aidée. Il disait faire partie d'un groupe nommé la Confrérie. Fortement il m'a aidée jusqu'à ce qu'il sache ce que j'ai. Un lien lors de ta naissance entre toi et moi avait été créé. Te trouver n'importe où j'étais capable. Mais seulement toi et non les autres. Puis te trouver il a voulu. J'ai refusé. Alors violent il est devenu. En captivité je suis presque. Des petits gestes j'accomplis pour lui. Donations d'argent etc ... cette lettre dans peu de temps je posterai. J'espère qu'au bon endroit elle arrivera. Mais à me retrouver ne cherche pas, mort tu deviendrais. Laisse Tristana de ses problèmes s'occuper. La vérité tu détiens maintenant.

V. Un Résumé

Maman ou Tristana, je ne sais plus. Je me souviens de tout ce que tu as mentionné dans la mesure du possible. J'ai bien reçu ta lettre mais je me dois de te répondre. Non je ne peux pas, je dois t'écouter. Alors je vais continuer à gribouiller sur ce cahier. Je vais faire comme si je te répondais. Après que tu m'aies fait adopter, j'ai été très triste. Je ne savais plus qui était le monstre dans l'histoire. Moi ou toi. Tu sais à dix ans, on ne comprend pas tout. Notre aventure avait toujours été rempli de bonheur et pourtant on s'était séparé dramatiquement. J'ai grandi dans cette famille. Un père et une mère mais désormais je ne les considère plus comme de ma famille. Désormais je contrôle mes pouvoirs un petit peu, j'essaie de les comprendre. Mais cela n'a pas toujours été facile.

Une fois au lycée, sous l'emprise de la colère, j'ai totalement été transformé. Heureusement, c'était dans les douches après le sport alors personne n'a rien vu, enfin je crois. Mais il y a eu cette fois-ci où je me suis découvert un penchant et pour les filles et pour les garçons. J'ai cru que j'allais devenir fou alors j'ai aussi été changé. Je n'ose parfois pas me regarder dans le miroir mais lorsque je sors, je suis obligé. Actuellement, je travaille dans une grand centre de commerce. Je suis vendeur dans une boutique de luxe. Je ne gère pas le magasin mais on est neuf employé, dix avec le gérant de ce magasin, et deux personnes sont sous les directives d'un autre. Je gère un groupe même si on forme plus un trio qu'une pyramide. Je suis content de ce job parce que, comme tu le sais, j'ai toujours voulu faire dans le commerce. Après avoir enchainé quelques petites frasques de ma vie, j'ai enfin réussi à trouver un emploi stable. Je tente tant bien que mal de contrôler aussi ce pouvoir mais je n'y arrive pas toujours, c'est dur.

J'espère que l'homme avec qui tu as trouvé des solutions n'est pas non plus trop dur avec toi. Tu es une dame, une lady, il se doit de te respecter je pense. Mais si tu as besoin d'aide, tu peux me trouver comme tu le veux, tu le sais à la vue de ce que tu m'as écrit. Essaie juste de couper le fil de temps en temps afin de ne pas trop t'immiscer dans ma vie ... J'espère qu'un de ces jours on se reverra.