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 Vitolio se découvre lui-même [PV]:[Peter petrelli(une fois validé)]

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Vitolio C. HamptonVitolio C. Hampton


Messages : 10
Localisation : New-York

Vitolio se découvre lui-même [PV]:[Peter petrelli(une fois validé)] Vide
MessageSujet: Vitolio se découvre lui-même [PV]:[Peter petrelli(une fois validé)]   Vitolio se découvre lui-même [PV]:[Peter petrelli(une fois validé)] Pasnouveaux12/6/2010, 10:29

Vitolio mit ses 2 mains en porte-visière, il faisait trop beau et le soleil luisant de l’après-midi lui brûlait atrocement les rétines. Il ferma ses volets et mit quelques secondes à voir de nouveau dans la pénombre profonde de la pièce, des points lumineux dansant toujours devant ses yeux il s’avança de quelques pas et s’effondra comme une masse sur une chaise en cuir. Il bailla à s’en décrocher la mâchoire avant de pousser un long étirement en dépliant ses bras. Des larmes lui vinrent ensuite aux coins des yeux, mais il les essuya d’un revers de sa main. Il déplia ses jambes et fixa devant-lui d’un air pensif. Aujourd’hui était une journée calme comme il pouvait y’en avoir des milliers à travers toute l’Amérique, suite à une explosion de canalisation d’eau dans la conduite principale qui alimentait tout son lycée le directeur de son école avait appelé sa maison ce matin pour signaler que les cours était évidemment annuler. Scrutant devant-lui d’un air vide il se mit à réfléchir, il était capable de choses si extraordinaire qu’il se faisait lui-même peur. Il ne fallait surtout pas qu’il fixe ou se concentre trop fort sur quelque chose car de la cet objet se retrouvait toujours à flotter où à bouger. Il avait même réussi à bloquer le crayon de son professeur alors qu’il était en train d’écrire au tableau, bien sûr tout le monde avait crû à une farce et toute la classe avait ri de bon ton, mais vitolio avait ri d’un rire jaune, lui, car il savait. …Détournant les yeux le jeune Hampton fixa sa main droite et la plia et la déplia dans un mouvement léger, il se demandait du plus profond de lui-même ce qu’il pouvait bien être et ce qui clochait avec-lui…Peut-être que d’autres personnes existaient, d’autres personnes qui étaient comme-lui

En existait-il beaucoup d’autres ? Etaient-ils tous comme lui ? Etaient-ils capable de hauts-faits encore plus extraordinaire que lui ? Le mystère qui les entourait s’épaississait à mesure que lui-même se posait des questions, mais qui ne pourrait jamais y répondre ? …S’arrachant à ses réflexions le jeune adolescent leva la tête. Devant-lui s’étalait son bureau, un ordinateur de couleur noir ébène trônait dessus, un bordel indescriptible l’entourait : balle de base Ball, téléphone, briquet, crayons et tout un fouillis qu’il ne pouvait totalement apercevoir. L’esprit vide il contempla ce fouillis sans même vouloir tenter d’y remettre un peu d’ordre. Soudain une sorte d’idée lui vint à l’esprit, il chercha du regard un petit objet posé non loin, et il tomba sur son bonheur, un crayon posé sur son étagère à sa droite. Il tourna sa chaise et fixa le crayon de son regard las. Quelques instants s’écoulèrent ainsi dans un silence quasi religieux, il continuait néanmoins de fixer le crayon qui trembla légèrement, accroissant sa fixation dessus l’objet vibra encore plus. Puis il bondit littéralement de son étagère, s’envolant comme une fusée dans la direction de vitolio, celui-ci se pencha sur le côté et le crayon vint se planter, mine en avant, dans le mur. Se relevant le jeune hampton regarda le mur où le crayon était fermement implanté, encore quelques centimètre et c’était-lui qui y passait. Il se leva et retira le stylo du mur quand quelqu’un vint frapper à sa porte


Vitolio ça va ? J’ai entendu comme un bruit bizarre.

EUH…Oui oui grand-mère, j’ai juste fait tomber mon pot à crayon contre le mur

Ouf le mensonge l’avait sorti de l’embarras cette fois-ci, mais il lui fallait à tout prix éviter de recommencer de faire ce genre de chose ici alors que tout le monde pouvait le voir, peut-être fallait-il un endroit plus discret ? Non il n’aimait pas rester enfermé, il fallait donc qu’il prenne l’air s’il voulait réellement voir ce dont il était capable, mais où ? La question resta en suspens un moment puis une idée sembla surgir d’elle-même, et pourquoi pas central park ? Ce n’était pas loin d’où il habitait et les gens seraient sûrement trop concentrés dans ce qu’ils faisaient eux-mêmes pour voir qu’un gamin a l’air étrange se livrait à toute sorte d’expérience bizarroïdes. Se tournant le jeune homme se tourna et agrippa le crayon fermement implanté dans le mur avant de tirer un bon coup pour l’en déloger, ce ne fut pas chose aidée car il était très bien planter. Le tenant bien en main il le regarda un instant avant de le reposer délicatement sur le bord de son étagère. Il regarda son blouson étaler sur son lit puis songea qu’il faisait bien assez beau et bien assez chaud dehors pour ne pas voir l’utilité d’un manteau qui ne ferait d’ailleurs que l’encombrer. Ouvrant sa porte il descendit l’escalier sans bruit et une fois en bas il parla fort pour que sa grand-mère l’entende bien

Grand-Mère je sors, je vais à central park je ne rentrerais pas tard, à tout à l’heure.

Claquant la prote derrière-lui le jeune Hampton cligna des yeux pour s’habituer à la lumière du jour et ses yeux s’étant habitués il s’avança jusqu’au portillon d’un blanc éclatant avant de l’ouvrir et de le refermer doucement. Il regarda devant-lui, New-York s’étalait devant-lui, le chemin pour cnetral Park passait par une petite ruelle qui débouchait directement sur le parc. Avançant d’un pas trainard il traversa le passage piéton devant chez-lui et prit la direction de ladite ruelle. Le chemin jusqu’au parc fut vite fait, il arriva à l’entrée des grilles et les poussa, elles grincèrent sur leurs gonds puis pivotèrent lentement. Il foula de son pied les gravillons de l’allée et marcha pour se diriger au centre de l’espace vert au beau milieu de new-York, étrange non qu’un coin de verdure puisse tout de même subsister au milieu de tous ces immeubles et ces gratte-ciels ? Sans doute que le maire de la ville tenait à son petit jogging du matin dans un endroit couvert de verdure, pollué par l’atmosphère ambiante certes, mais bel et bien vert. Apercevant un banc non loin de là le jeune homme s’y laissa couler et s’effondra dans le petit siège de bois. Il appuya son dos au dossier du banc et resta les yeux perdus dans le vide, une intense réflexion se lisait dans ses yeux…Soudain un joggeur lui rasa la tête et c’eût pour effet de le sortir de ses songeries, il s’excusa et reprit sa course. Le suivant du regard le jeune Hampton le laissa s’évanouir dans l’horizon avant de lever les yeux. Des gens discutaient tranquillement autour de lui, rebaissant les yeux l’adolescent aperçut devant-lui, à quelques mètres, un bâton qui trainait nonchalamment au milieu du chemin.

Une sorte d’idée passa dans son esprit, la même idée qu’il l’avait prise quelques instants à peine auparavant lorsqu’il avait attiré le crayon à lui. Tournant la tête à droite puis à gauche pour vérifier que personne ne l’observait il fixa le bâton de toute lé ténébreuse profondeur de ses yeux bleus en ayant bien vu que personne ne faisait attention à lui. Les mains et les coudes sur les genoux il tendit délicatement 2 doigts dans sa direction, sans bouger le reste de son anatomie, se concentrant du mieux qu’il le pouvait il essayait d’intimer l’ordre au bout de bois inerte de venir jusqu’à lui. Il lui sembla que l’objet tremblait légèrement, il oscillait à vrai dire. Tendant un 3eme doigt le bâton vibra un peu plus sous la pulsion psychique du jeune homme. Se concentrant encore un peu plus le bâton avança d’un centimètre ou 2 en déplaçant le sable et les gravillons autour de lui, il oscilla et vibra encore un peu avant d’avancer de nouveau, mais de 5 centimètre cette fois-ci, la terre autour s’écarta sur son passage. Expédiant une puissante décharge mentale le bâton décolla et arriva avec force vers le visage de vitolio. Par pure réflexe celui-ci tendit sa main devant-lui et attrapa le bout de bois au vol. N’en revenant toujours pas de ce qu’il venait de faire vitolio regarda le bout de bois d’un air très surpris. Avec de grands yeux il regarda sa main avant de revenir au bâton, mais comment il avait fait ça ? Une ombre apparut sur le sol, il tourna la tête, mais celui ou celle qui se tenait à quelques mètre de lui se trouvait juste devant le soleil et il ne pût pas bien distinguer. Est-ce qu’il ou elle l’avait vu faire ? Il ne l’espérait vraiment pas, car si c’était le cas il y’aurait quelqu’un d’autre dans le secret…
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Vitolio se découvre lui-même [PV]:[Peter petrelli(une fois validé)]

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